La situation préoccupante d'un virus dont l'existence est totalement remise en cause :
- House of Numbers, les choquantes révélations sur le SIDA :
- SIDA - analyse des preuves de la non-existence du VIH :
- Rencontre avec le professeur de Harven : L'arnaque du SIDA :
- Arte : Sida le doute :
Si vous regardez avec soin ces 4 reportages, vous découvrirez qu'il existe une communauté de plusieurs milliers de scientifiques (médecins, chercheurs, épidémiologistes, journalistes scientifiques...) qui se battent pour faire tomber une grande partie des préjugés que la société occidentale à travers ses campagnes médiatiques, ses sidactions, et son cinéma entretiennent depuis plus de trente ans. L'effet de peur généralisé se poursuit insidieusement aujourd'hui, par méconnaissance. Aussi partageons ces informations, et dépossédons cette croyance collective d'un prétendu rétro-virus HIV qu'aucun scientifique aujourd'hui n'a pu photographier.
Même si une goutte d'eau demeure toujours une goutte d'eau.
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LES VÉRITABLES CAUSES DU SIDA :
"Rappel: le terme sida regroupe une trentaine de maladies dont l’immunodéficience ou immunodépression et d’autres, en présence d’une séropositivité (voir plus loin).
- L’immunodéficience :
Les causes de l’immunodéficience acquise sont connues depuis bien longtemps :
. la malnutrition
. les substances dangereuses (drogues, certains médicaments, sang transfusé)
. un stress intense et prolongé,
. les cancers du système lymphatiques
. les radiations électromagnétiques
. les médicaments antirejet pour les greffes d’organes
. les autres maladies :
- Les maladies infectieuses :
Les maladies infectieuses sont dues à des bactéries, virus ou parasites connus depuis fort longtemps qui profitent de immunodéficience d’où le terme d’infections opportunistes et non pas d’un nouveau virus appelé « VIH ».
La pneumocystose est dû à un microbe pneumocystis carinii, très répandu au niveau mondial et inoffensif en temps normal.
La tuberculose est une maladie infectieuse la plus répandue en Afrique et dans les pays pauvres. Elle est due au bacille de Koch.
La candidose est causée par une levure, candida albicans.
Bref…
Chacune des maladies infectieuses a une cause bien définie et qui n’a rien à voir avec le « VIH ».
- Les néoplasies
Le sarcome de Kaposi se caractérise par une prolifération anarchique des cellules recouvrant la paroi interne des vaisseaux sanguins.
Des plaques rouges violacées, brunes apparaissent sur la peau.
La cause de cette maladie est chimique (poppers).
- Les maladies dites liées au « VIH » ou les autres ne sont pas causées par le « VIH ».
Le virus de la rougeole se retrouve chez les rougeoleux, le virus de la grippe chez les personnes grippées….C’est la première fois qu’un virus « VIH » serait présent chez des malades atteints d’une trentaine de maladies différentes!
- Les groupes à risques :
. Les homosexuels
Les homosexuels ont été les premiers cas (médiatiques) déclarés de sida.
Les poppers ou nitrite d’amyle étaient des drogues récréatives inhalées très répandues dans cette communauté à cette époque.
A la base le nitrite d’amyle était utilisé comme dilatateur coronarien mais a été détourné de son usage premier par les homosexuels dans les années 1970 en tant qu’aphrodisiaques.
C’est la prise répétée de cette substance qui est à l’origine de la destruction de leur système immunitaire et des maladies dites opportunistes qui en sont la conséquence.
Ce ne sont pas les relations sexuelles qui ont causé le sida aux homosexuels mais la prise de poppers sans compter les nombreux antibiotiques pris contre différentes infections.
. Les toxicomanes
De même pour les toxicomanes, des études montraient déjà en 1909, date à laquelle la toxicomanie était peu répandue, que les drogues récréationnelles causent une immunodépression, des affections diverses telles que la tuberculose, la pneumonie, des désordres neurologiques, une perte de poids…
La dénutrition qui touche souvent les toxicomanes aggrave l’immunodépression.
L’échange de seringues n’a rien à voir avec le sida contracté par les toxicomanes mais c’est la drogue elle-même qui est immunosuppressive.
Quand on sait que le gouvernement souhaite ouvrir des salles de shoot pour les toxicomanes…Ce n’est ni plus ni moins qu’une légalisation de la drogue qui ne dit pas son nom.
Tout ceci pour empêcher les toxicomanes de s’échanger des seringues usagées.
Même avec les seringues les plus propres, ils peuvent être atteints du sida mais ça ils ne veulent pas l’admettre!
. Les hémophiles
L’hémophilie est une maladie qui se caractérise par un problème de coagulation du sang.
Cette maladie est due à un défaut des facteurs de coagulation qui permettent normalement de stopper les saignements.
Il peut en résulter des conséquences graves en cas hémorragies.
Ainsi les hémophiles sont amenés à recevoir des facteurs de coagulation en prévention et des transfusions sanguines en cas d’hémorragies.
Des anticorps sont fabriqués par le corps et sont dirigés contre ces facteurs de coagulation étrangers.
L’injection de ces facteurs de coagulation ou les transfusions répétées finissent par épuiser le système immunitaire des malades.
Par ailleurs les facteurs de coagulation peuvent être immunosuppresseurs.
Les hémophiles ont connu une mortalité importante notamment suite à des problèmes hépatiques résultant de l’accumulation de déchets dans le foie.
A noter qu’il n’y a jamais eu d’épidémie chez les hétérosexuels, la maladie n’est jamais sortie des groupes à risque (homosexuels, toxicomanes, hémophiles).
Plusieurs enquêtes montrent que les prostituées n’ont pas le sida exceptées les toxicomanes.
Une question essentielle et sur laquelle repose l’escroquerie du sida est la séropositivité.
Comment fonctionnent les tests?
Que valent t-ils vraiment?
Les tests de séropositivité
- Le principe des tests :
Il existe deux types de tests : le test d’évaluation (Elisa) et le test de confirmation (Western Blot).
Dans le test Elisa les 10 protéines caractéristiques du prétendu virus sont testées en même temps et dans le test Western Blot elles sont séparées sur des bandes différentes.
A noter que les tests n’ont pas été validés sur des malades et des personnes saines au préalable.
Il faut savoir que les tests ne détectent pas la présence du virus dans le sang mais d’anticorps réagissant à des marqueurs censés provenir du virus.
Or comme aucun virus n’a été isolé, les marqueurs ne peuvent lui être spécifiques.
Sensibilité et spécificité
Tout test de séropositivité, en l’occurrence pour le « VIH », se caractérise par sa sensibilité et sa spécificité.
La sensibilité mesure le taux de séropositifs parmi un groupe de personnes dont on sait de manière certaine qu’il est porteur du virus.
La spécificité mesure le taux de séronégatifs parmi un groupe de personnes dont on sait de manière certaine qu’il n’est pas porteur du virus.
La sensibilité et la spécificité doivent être proches de 100% dans l’idéal.
Le problème de la sensibilité est que étant donné que le virus « VIH » n’a jamais été isolé chez un malade, il est par conséquent impossible de constituer un groupe témoin porteur du virus.
Quant à la spécificité, il existe au moins 60 conditions pour lesquelles le test s’avère donner des faux positifs.
. Les réactions croisées
On appelle antigène toute substance étrangère qui s’introduit dans le corps humain et qui est susceptible de déclencher une réponse immunitaire.
Le système immunitaire est constitué notamment d’anticorps qui sont des cellules chargées de lutter contre les antigènes.
On pensait qu’à un antigène donné correspondait un anticorps spécifique jusqu’à ce que l’on découvre qu’il peut exister des réactions croisées, c’est à dire qu’un anticorps peut réagir à plusieurs antigènes et à un antigène peuvent réagir plusieurs anticorps.
Positif et négatif
Le premier test mis au point par Robert Gallo donnait 100% de séropositifs sur un lot d’échantillons de donneurs du sang.
Pour limiter le taux de séropositifs et donner un semblant de crédit à ces tests, il a décidé de diluer le sérum dans des proportions très importantes.
Avec les tests de séropositivité on peut être positif un jour et négatif le lendemain.
Un même échantillon a été envoyé à 19 laboratoires différents et on a obtenu autant de résultats différents.
Le test Western Blot est basé sur la détection de 10 protéines.
En France, il faut 3 protéines pour être déclaré séropositif.
En Australie, il en faut 4 protéines.
En Afrique, 2 protéines suffisent.
Pourquoi une protéine seule ne sufitt-elle pas?
Et pourquoi pas les 10 complètement?
Les faux positifs
Il faut également signaler qu’il existe une soixantaine de conditions qui sont sources de faux positifs: grossesse, hémophilie, cancers, maladies du foie, tuberculose, paludisme…
La charge virale
A ces tests a été ajouté la notion de charge virale qui permet en théorie de quantifier le virus dans le sang d’un séropositif.
La procédé utilisé est celui de la PCR (Polymerase Chain Reaction), technique permettant d’obtenir de grandes quantités d’acide nucléique, à des fins frauduleuses.
En effet, la technique PCR multiplie des acides nucléiques provenant de toutes origines et ne mesure en aucun cas une quantité de virus VIH.
En conclusion les tests de séropositivité n’ont pas de spécificité et n’ont aucune valeur.
La séropositivité est uniquement le signe d’une présence importante d’anticorps dirigés contre toute sorte d’antigènes.
En réalité il n’y a pas d’affaire du sang contaminé puisqu’il n’y a pas de sang contaminé par un virus appelé VIH.
Des millions de personnes sont terrifiées à l’idée d’apprendre leur séropositivité alors que les tests ne valent rien.
Que valent les traitements antiviraux si il n’y a pas de virus et que celui-ci ne peut causer de maladie?"
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